Archives de catégorie : Commémorations

Saint-jean-baptiste

Le 24 juin, fête de Saint-Jean-Baptiste, patron des Canadiens français, fête de la nation francophone d’Amérique! L’occasion de célébrer l’existence des seuls héritiers de la culture française sur le continent de l’anglosphère. Existence qui persiste malgré plus de 250 ans de tentatives d’exterminations.

Aujourd’hui nous sommes plus près que jamais de l’extinction et même statistique Canada et l’OQLF nous préviennent de la menace qui guette notre peuple. Dans près de 20 ans, nous serons minoritaires dans le foyer de nos pères. Situation dramatique!

Tellement dramatique qu’elle pousse un gouvernement supposément nationaliste à adopter des mesurettes qui n’auront aucun impact sur le cataclysme démographique qui se point à l’horizon.

Il faut beaucoup plus que cela! Commençons par sortir de notre léthargie de survivance. Réanimons la flamme qui s’éteint chez certains des nôtres. Comme Hubert Aquin, déclarons la guerre totale aux assassins de notre peuple. Comme Dollard des Ormeaux soyons prêts au sacrifice de nos vies. Comme l’abbé Lionel Groulx, propageons l’ode nationale du foyer lumineux de l’Amérique française!

Cela commence par mettre un arrêt à l’ethnomasochisme ambiant pour enfin devenir totalement maître chez nous !

Bonne Saint-Jean-Baptiste à tous !

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Atalante

Hier, nous commémorions la bataille navale de Neuville et l’héroïsme du capitaine Jean Vauquelin commandant de la frégate Atalante. Après la victoire de la bataille de Sainte-Foy, notre armée royale fut incapable de maintenir un siège pour reprendre Québec aux mains des envahisseurs britanniques. Les troupes du glorieux général durent céder à l’arrivée des renforts ennemis. C’est en rendant coup pour coup jusqu’à l’épuisement des munitions que la furia francese de l’équipage assura la retraite des troupes du général Lévis. Prêt à l’ultime sacrifice pour assurer sa mission, Vauquelin ne se rendit qu’au dernier moment, clouant le drapeau royal au mât de son navire et lançant son épée au fleuve Saint-Laurent.

Nous vivons une période de dissolution totale par la domination du marché global. Le révisionnisme historique et la destruction de notre patrimoine en sont un symptôme. Pendant que les symboles de notre présence en Amérique deviennent la cible du libéral-gauchisme, il est de notre devoir d’assurer la permanence de notre histoire et de célébrer le culte de nos héros!

Exister c’est combattre ce qui me nie!

Dollard

Mai 1660, informés par leurs alliés hurons d’une attaque iroquoise imminente contre la Nouvelle-France, une poignée de colons français et d’autochtones part de Ville-Marie vers une mort certaine face à l’ennemi. Au Long-Sault avec Adam Dollard Des Ormeaux à leur tête, les guerriers tiennent tête aux Iroquois en surnombre. Submergés et s’insurgeant contre la fatalité, les assiégés lancèrent un baril de poudre à canon qui détruisit une partie du fort et tua plusieurs d’entre eux. Par ce sacrifice héroïque, Dollard et ses hommes réussirent à sauver la Nouvelle-France et ses habitants d’un massacre assuré.

Nous devons honorer la mémoire de nos héros! Encore plus dans le contexte actuel où ils sont salis agressivement. Rappelons-nous leur promesse faite avant leur funeste départ : « Je jure de combattre jusqu’à la mort et de ne jamais reculer devant l’ennemi ».

Que nous dirait Dollard à la veille de la terrible mise en minorité qui plane sur notre peuple?

Voici les mots que le chanoine Groulx lui avait mis à la bouche lors de sa conférence de 1919 intitulé « Si Dollard revenait… »

– Et Dollard conclurait, au risque de scandaliser jusqu’au bout les professeurs d’exotisme et de déracinement : « Serions-nous au monde le seul débris de la race française, et fallût-il n’appuyer que sur nous-mêmes notre volonté de durer, je n’hésiterais pas à le crier : notre seul passé, notre seul honneur, notre seul patrimoine spirituel, la seule valeur humaine représentée par nos ancêtres, nous seraient des motifs suffisants de ne pas nous démettre de notre droit de vivre. »

Honneur à nos héros!

Exister c’est combattre ce qui me nie!

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Émeutes de Québec

Le 1er avril 1918, l’armée canadienne ouvrait le feu sur les manifestants contre la conscription au coin des rues Saint-Vallier, Saint-Joseph et Bagot à Québec. Refusant de servir sous le drapeau britannique, ceux-ci avaient pris le pavé. Pendant une semaine, les citoyens de Québec manifestèrent leur envoi de force vers les tranchées d’Europe. Motivés par la haine antifrancophone, l’armée ouvrit le feu sur nos aïeux. Il y eut près de soixante blessés et quatre morts. Les ordres étaient clairs, « Shoot to kill!». Les familles endeuillées par l’armée ne reçurent aucune aide. Le reste du mois d’avril fut le théâtre d’arrestations continues et arbitraires.

Rappelons-nous que cette haine contre les francophones en Amérique est encore bien vivante et se manifeste ouvertement. Elle a seulement changé de visage. Hier ils nous écrasaient, car ils nous jugeaient de race inférieure. Aujourd’hui, leurs descendants anglosaxons et leurs palefreniers osent nous qualifier de suprémacistes. Le reproche est le même, le fait de vouloir se conserver comme peuple et le désir de rester majoritaire sur la terre de nos ancêtres.

Ayez une pensée pour nos morts! Je me souviens!

— Honoré Bergeron, 49 ans, Père de 6 enfants, touché au dos par une balle explosive!

— Alexandre Bussières, 25 ans, touché au poumon par une balle explosive!

— Édouard Tremblay, 23 ans, étudiant, mort au bout de son sang par manque de secours!

— Georges Demeule, 14 ans, atteint droit au cœur par une balle explosive!À nos ancêtres morts sous les balles!

PRÉSENT!

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Fête nationale

Soyez fier de votre peuple, de sa langue, de son héritage culturel, de son histoire et de ses héros! Soyez fier, et cela, sans compromis!

Refusez l’américanisation des cerveaux et les narratifs incohérents importés chez nous pour vous écraser!

Tout ce que notre peuple a bâti et jusqu’où il a pu s’élever fut possible grâce à des efforts considérables. Cela malgré toutes les embûches, les calomnies, le mépris, la répression et le mal que le colonisateur a pu lui faire. Restons fiers et droits malgré leurs descendants qui versent maintenant leur haine sur les nôtres pour le seul fait de vouloir exister. Jamais le Canada anglais n’a accepté que l’on se soustraie à sa domination. Domination jadis orangiste et maintenant multiculturaliste…

Détournez-vous des fausses idoles qui font dans l’autoflagellation humiliante.

Brandissez votre drapeau fièrement!

Bonne fête nationale à tous les Canadiens français!

Bonne Saint-Jean-Baptiste!

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Sainte-Jeanne-d’arc

Nous célébrons le 100e anniversaire de la canonisation de Jeanne D’Arc en ce 30 mai, jour de son exécution sur le bûcher de Rouen. Si nous ne sommes pas les instigateurs de sa commémoration, il faut faire un retour en arrière de cent ans pour se replonger dans le contexte qui en fit une icône pour notre peuple. L’assassinat des citoyens de la ville de Québec lors des émeutes de 1918 contre la conscription a laissé un fort ressentiment dans la population. Il s’agit d’un point culminant des vexations commises contre notre existence comme peuple et notre langue.

En 1920, les stigmates de ces humiliations sont toujours visibles. Voilà que celle que l’on nomme la pucelle d’Orléans est canonisée par l’Église. Il n’en fallait pas plus pour faire de celle, qui rejeta l’anglais hors de France, l’héroïne préférée des Canadiens français. Elle est donc devenue un symbole identitaire fort de ceux qui résistent à l’assimilation et l’adversité.

Pour nous Sainte-Jeanne-d’Arc est le symbole de la lutte pour la survie du français en Amérique contre le mondialisme nivelant. C’est celle qui est désavouée par l’élite pour être vendue et jugée pour l’ennemi par les traitres. En ces temps de dissolution où notre existence comme peuple est une fois de plus menacée, nous devons plus que jamais résister pour l’Amérique française!

Sainte-Jeanne-d‘Arc, veillez sur nous!

VENNER

« L’Etat a sa logique qui n’est pas celle de la nation vivante. Celle-ci n’a rien à craindre des abandons de souveraineté, pour cette bonne raison que la souveraineté ne se confond pas avec l’identité. S’il en fallait encore une preuve, l’histoire du Québec nous l’apporterait éloquemment. Depuis le traité de Paris en 1763, les Français du Canada ont été totalement abandonnés par l’Etat royal. Isolés dans un univers hostile et sous une souveraineté étrangère, non seulement ils n’ont pas disparu, mais ils se sont multipliés, conservant leur langue ancestrale et leurs usages, luttant victorieusement contre l’hégémonie linguistique anglo-saxonne. Là est l’identité, dans la fidélité à soi-même et nulle part ailleurs. »

– Dominique Venner , Le Figaro, 1er février 1999.

commémoration

Samedi nous commémorions la mémoire de nos aïeux. La fin de novembre, mois des morts, était l’occasion de nous réunir pour honorer le panthéon de nos anciens et leurs faits d’armes.

Cette cérémonie débuta par un récit d’épopée historique suivi d’une minute de silence pour se terminer par des discours aux militants. Nous avons choisi comme lieu le mausolée de Montcalm et le monument aux morts de la guerre de 7 ans, événement tragique de notre histoire.

 Il s’agit de notre devoir à tous de faire resurgir la longue mémoire de nos pères afin que jamais ils ne soient oubliés et que jamais notre histoire soit falsifiée.

Exister c’est combattre ce qui me nie!

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SAINt-Jean-Baptiste

La fête de la Saint-Jean-Baptiste est depuis le XIXe siècle l’occasion de célébrer l’existence et la fierté de notre peuple. Minorité francophone dans une mer anglophone, nous résistons toujours malgré le mépris et la haine. C’est le moment d’exalter notre vitalité comme peuple et de penser au temps qui vient. Car les attaquent contre cette petite nation qui est la nôtre ne cesseront pas et risquent même de s’intensifier. Que chacun de nous soit un rempart et nous aurons au mieux le statu quo de la conservation. Que chacun de nous aille de l’avant et nous assurerons la pérennité de notre peuple. Alors, dans cette ambiance de festivité et de fierté, rappelons-nous notre glorieux passé pour mieux nous projeter vers le futur.

Bonne Saint-Jean-Baptiste à tous nos compatriotes! 
Québec! Jeunesse! Révolution!

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Dollard des Ormeaux

Hier célébré, aujourd’hui conspué, Dollard des Ormeaux est un personnage marquant de l’histoire de la Nouvelle-France. Ce sont les alliés Hurons qui informent les français de l’imminence d’une attaque iroquoise sur la colonie. Des Ormeaux décide qu’une expédition est nécessaire pour devancer les ambitions iroquoises. Avec 16 volontaires français et 43 alliés Huron et Algonquins, la troupe se cantonne dans un ancien fortin au Long-Sault. Sans relâche, les assiégés contiennent les attaques iroquoises malgré leur infériorité numérique. C’est un malheureux coup du sort, un baril de poudre, qui précipita leur massacre. Les habitants de Ville-Marie apprirent la nouvelle grâce à un jeune Huron qui réussit à s’évader de sa captivité malgré les tortures qu’il avait subies.

Par ce geste de sacrifice, Des Ormeaux et ses compagnons réussirent à contrer les plans des Iroquois, alliés des Britanniques, et sauver ce qui deviendra Montréal. C’est par la suite que Louis XIV envoya le régiment Carignan-Salières pour assurer la défense de la colonie. Rappelons-nous leur promesse faite avant l’expédition : « Je jure de combattre jusqu’à la mort et de ne jamais reculer devant l’ennemi ».

Honneur à eux !

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