La pénurie de main-d’œuvre, nouveau cheval de bataillle du Capital, n’est qu’un prétexte à l’immigration de masse. En réalité, le système cherche à combler des emplois médiocres en important des travailleurs dociles, en attendant une inévitable automatisation qui lui permettra de se débarrasser d’eux. Les politiciens mondialistes font miroiter les fastes d’une vie meilleure en Occident aux désœuvrés du monde, un Eldorado factice une fois arrivés sur place. En déstabilisant des pays aux ressources naturelles abondantes et riches, la finance apatride peut ainsi compter sur un bassin quasi inépuisable de travailleurs déracinés et serviles pour son armée de réserve. Dès lors, elle vide de ses forces vives les pays d’un « tiers-monde » qu’elle a elle même créé pour s’en accaparer plus aisément les richesses.
Chez nous, la haute finance promeut l’individualisme et généralise les exceptions pour semer la discorde et l’anomie sociale. Ces forces d’argent instrumentalisent des causes mineures qui profitent à leur agenda politique, le tout sans oublier de s’enrichir au passage. La triple alliance idéologique du grand patronat, des néo-libéraux et de la gauche bien-pensante se révèle autant être le gratin des idiots utiles que le nouveau front bourgeois. L’anathème est lancé avec virulence par ces nouveaux soldats du mondialisme contre toute politique de réduction de l’immigration, même timorée.
Ainsi, les nationalistes doivent éviter de tomber dans le piège qui leur est tendu, en blâmant certaines communautés, alors que le problème est politique et financier. C’est la domination totale des forces d’argent qui pille les nations et assassine les peuples. C’est l’intérêt de la finance avant le bien commun qui incarne le vrai danger.
Immigration armée de réserve du capital!