L’USURE C’EST L’ESCLAVAGE!

Un peuple endetté, c’est reconnu, sera plus docile. Il sera domestiqué aux volontés du marché et prêt à accepter tout chantage salarial pour conserver un emploi précaire. C’est d’ailleurs la multiplication des emplois précaires qui assure cette forme d’esclave par insécurité d’emplois. Pénurie de main-d’œuvre, nous dit-on? Il s’agit plutôt de propagation de la précarité. Il en va de même pour les nations. Surendettées, elles sont à la merci des intérêts financiers apatrides.

Notre nation doit posséder sa propre banque nationalisée, seule entité pouvant imprimer la monnaie et octroyer des prêts à l’État. L’État n’est pas un outil de l’économie. C’est l’économie qui doit être au service du bien commun. Tout individu ou consortium ayant fait fortune sur le dos de l’État et du bien commun devrait être condamné à de sévères peines.

L’usure c’est l’esclavage!

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