L’usure, c’est l’esclavage!
Plus que jamais, nos sociétés sont endettées. Le Canada, le Québec et le peuple n’ont plus aucune liberté économique, car ils sont tous assujettis au dictat des créanciers privés. De 1974 à aujourd’hui, c’est une augmentation de près de 3000 % de la dette nationale… Mais comment cela a-t-il pu se produire?
Pierre-Elliot Trudeau, le père de notre dégénéré favori, en collaboration avec le pouvoir mondialiste met un terme à la Banque centrale canadienne en 1974. À ce moment, les emprunts nationaux pour les infrastructures et les services publics seront tous acquis chez des banques privées. Mais quel changement cela amène-t-il? En quelques mots, dorénavant, les intérêts des prêts que l’État a engendrés et qu’il engendrera encore rapporteront à des créanciers privés et non au trésor national. Chaque développement et investissement qu’empruntent nos gouvernements enrichit de richissimes institutions banquières. Autrefois, les intérêts engendrés par un emprunt à la Banque centrale renflouaient les coffres de l’état donc produisaient encore plus de richesse nationale. Comme la pomme ne tombe jamais loin de l’arbre, Justin Trudeau fait fi de ce détail et il n’hésite pas à engranger encore plus le fardeau fiscal canadien et le Québec n’a pas le choix d’emboiter le pas évidemment.
Ce fardeau, il est bien sûr transféré sur les épaules du citoyen, en augmentation de taxes et d’impôts, de coupures ou de politiques d’austérité… Il faut rembourser au moins les intérêts faramineux que ces intérêts privés occasionnent, nous disent nos politiciens. Nos institutions et services publics sont en péril et bien évidemment on vous propose de les vendre à des intérêts privés. Ajoutez à cela un taux d’endettement des ménages très élevé à pratiquement 168 % du revenu occasionné par des prêts hypothécaires exagérés et une surconsommation à crédit et vous obtenez l’asservissement économique d’un peuple et d’une nation aux Banques et leur idéologie mondialiste.
Exister c’est combattre ce qui me nie !