Archives de catégorie : Commémorations

Bataille de Neuville

S’il y a pour nous un événement significatif de notre histoire, c’est bien celui de la bataille de Neuville un mois de mai 1760. Son symbolisme est celui du sacrifice et de l’héroïsme. Bref, il s’agit d’un acte militaire teinté d’une extrême générosité et d’un sang-froid extraordinaire. C’est donc sur les rives du Saint-Laurent que nous honorons la mémoire du capitaine de Frégate Jean Vauquelin et de l’équipage de l’Atalante, vaisseau de guerre dont nous avons adopté le nom. Il s’agissait encore une fois, pour nos militants d’avoir la chance de s’exercer à discourir et d’ainsi manifester leur fidélité envers notre histoire nationale.

Exister c’est combattre ce qui me nie.

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Sainte Jeanne D’ARC

Nous commémorions samedi la mémoire d’une des plus grandes héroïnes de France, Sainte Jeanne d’Arc. Symbole de courage, de résistance et de patriotisme, elle est un exemple de grandeur pour nous tous. C’est donc de façon solennelle que nous avons souligné le sacrifice de cette guerrière par un narratif de ses exploits et de ses harangues enflammées. S’en est suivi une procession dans l’ordre et le respect pour conclure cette cérémonie. Finalement, dans une ambiance de camaraderie se sont enchaînées des conférences pour une soirée militante formatrice.

Nous avons le devoir de faire vivre la mémoire de nos ancêtres, afin qu’à notre tour nous ne sombrions pas dans l’oubli.

Exister c’est combattre ce qui me nie!

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Pontiac

Nous honorons, en ce mois d’avril, le chef des Outaouais Pontiac. Au fait de la catastrophe que représentait la défaite française en Nouvelle-France et à l’arrivée du régime britannique, ce chef de guerre sut coaliser les tribus autochtones contre l’arrogant colonialisme anglais. C’est une résistance de près de trois ans qui se jouât alors contre la menace britannique. La France ayant abandonné pour de bon l’Amérique, quelques 300 Canadiens-français participèrent au conflit avec leurs alliés de longue date ayant Pontiac à leur tête. Le souvenir de cette fraternité encore frais, Pontiac arborait en son camp l’étendard royal français.

Malgré de nombreuses victoires, les forces britanniques prirent le dessus des révoltes, notamment en répandant des épidémies chez les peuples autochtones révoltés ou non. Avec l’essoufflement de la rébellion, Pontiac n’eut d’autres choix que de traiter avec les Anglais. Une partie des forces de résistances autochtones et canadiennes-françaises, dirigée par le chef Shawnee Charlot Kaské, n’accepta pas la fatalité d’un traité et partie vers la Louisiane espagnole.

Pour nous Obwandiyag (Pontiac) est un formidable exemple de résistance, de courage et de grandeur!

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01/04 1918!

C’est le 1er avril 1918 que l’armée canadienne ouvrit le feu sur nos aïeux à l’intersection des rues Saint-Vallier, Saint-Joseph et Bagot. Leur crime était celui de s’opposer à la conscription qui les aurait menés sur les champs de batailles européens mourir sous la bannière du mépris. Quatre d’entre eux trouvèrent la mort dans les rues de leur cité, en plus d’une soixantaine de blessés. Jamais les familles ne furent indemnisées.

Ainsi, c’est pour honorer leurs mémoires que nous nous sommes réunis sur les lieux du massacre afin que jamais cet événement ne sombre dans l’oubli.

Je me souviens!

— Honoré Bergeron, 49 ans, Père de 6 enfants, touché au dos par une balle explosive!
— Alexandre Bussières, 25 ans, touché au poumon par une balle explosive!
— Édouard Tremblay, 23 ans, étudiant, mort au bout de son sang par manque de secours!
— Georges Demeule, 14 ans, atteint droit au cœur par une balle explosive!

À nos ancêtres morts sous les balles! PRÉSENT!

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Acca Larentia

Une délégation de nos militants était présente à la cérémonie de commémoration de la tragédie de Acca Larentia à Rome pour honorer la mémoire des jeunes martyrs. C’est le 7 janvier 1978 qu’un commando d’extrême gauche s’attaque à l’arme automatique à une réunion du Front de la jeunesse. Franco Bigonzetti, 20 ans et Francesco Ciavatta, 18 ans, tombent sous les balles des assassins. Une manifestation spontanée se crée, Stepheno Recchioni, 19 ans, est abattu en pleine tête par un gendarme lorsque les tensions montent, après qu’un journaliste de RAI ait éteint sa cigarette dans le sang des victimes. Les meurtriers furent tous acquittés, un se suicidât et un autre s’exila. Depuis, c’est année après année qu’est commémorée la mémoire de ces jeunes nationalistes tombés sous la haine rouge et étatique. 


N’oublions jamais cette jeunesse idéaliste qui s’éteignit trop rapidement de son intensité, telles les fleurs de cerisiers au printemps.

Onore ai camerati caduti !

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Saint-Jean-Baptiste

La Fête nationale n’est pas un prétexte pour une fois par année se laisser aller à une beuverie sous couvert de patriotisme. Ce n’est pas plus l’occasion de passer une propagande multiculturelle en la décorant de fleurs de lys et de bleu royal. Si la ferveur patriotique doit s’exprimer tous les jours, la fête nationale est une occasion pour se regrouper entre compatriotes. C’est l’occasion de servir le devoir de mémoire que nous devons à nos ancêtres. C’est l’occasion de célébrer les plus de quatre cents ans d’existence d’un grand peuple. Un peuple qui ne veut pas disparaitre et qui survit tant bien que mal à plus de cent cinquante ans de tentatives d’extermination. La fête de la Saint-Jean-Baptiste est l’occasion de commémorer la hardiesse de nos ancêtres endurcis au froid et au labeur. C’est le moment de célébrer une terre façonnée des mains de nos aïeux. Nous sommes un peuple unique comme tous les autres et qui ne fait pas exception aux menaces mondialistes de « melting pot ». Nous devons démontrer plus que jamais notre fierté et notre enracinement!

En cette fête de la Saint-Jean-Baptiste, nous souhaitons à tous les Québécois, bonne Saint-Jean-Baptiste!

Le Québec aux Québécois!

 

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Commémoration Atalante 2018

Nous commémorions ce soir le lieutenant de vaisseau de la marine royale française Jean Vauquelin, commandant de la frégate Atalante. C’est pendant la Bataille navale de Neuville que Vauquelin et son équipage démontrèrent leur bravoure face à des adversaires plus nombreux et mieux armés. Leur héroïsme doit à jamais être un exemple pour la jeunesse Canadienne-Française. Aussi, était-ce l’occasion pour nos plus jeunes militants de s’initier à discourir lors d’événements commémoratifs. Nous avons la chance de vivre dans une région patrimoniale unique en Amérique du Nord et d’être les héritiers d’une épopée sans pareille. Nous avons un devoir de mémoire envers nos Ancêtres et notre Histoire.

Exister c’est combattre ce qui me nie!

 

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Sainte-Jeanne d’Arc

Nos ancêtres les plus lointains croyaient en ce qu’ils appelaient la gloire impérissable. Il s’agit simplement du devoir de mémoire que nous leur devons, le culte des ancêtres. Ainsi, comme nous en avons pris l’habitude nous célébrons la mémoire de nos aïeux. En ce début du mois de mai, nous commémorons la vie de Sainte-Jeanne d’Arc, héroïne mythique de la guerre de Cent Ans. Prenons exemple sur elle qui sacrifiât sa vie pour son royaume dans la lutte et qui termina ses jours exécutée sur le bûcher. Nous avons souligné sa mémoire par des discours et une marche ordonnée dans les rues de notre ville.

Exister c’est combattre ce qui me nie !

 

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100e Émeutes de Québec

Hier, le 1er avril 2018, il y avait cent ans de cela nos ancêtres descendaient dans les rues de la ville de Québec pour protester contre la conscription. Ils refusaient d’être envoyés de force outre-mer pour combattre dans la Première Guerre civile européenne. D’autant plus qu’ils seraient morts sous une bannière qui les méprisait en tout point. Les manifestations de mécontentement s’échelonnèrent sur près d’une semaine avant d’être brusquement interrompues par la violence d’occupation. Le 1er avril 1918, des troupes de la milice canadienne venue de l’Ontario, de l’Ouest et des Maritimes marchèrent sur Québec pour réprimer les manifestants. Les ordres étaient clairs, « Shoot to kill!». Les officiers donnèrent l’ordre d’ouvrir le feu sur nos aïeux à la mitrailleuse tuant quatre d’entre eux. Ils furent tous atteints de balles explosives, la vie leur a été enlevée pour avoir refusé de servir sous la bannière de l’humiliation.

Nous nous sommes réunis en cette date précise pour commémorer la mémoire de nos ancêtres. Pour que ne soient jamais oubliés le mépris et la haine avec lesquels les nôtres furent traités. Les martyrs sont présents à nos côtés et veillent sur nous. Du moment que le devoir de mémoire est pratiqué, jamais leur sacrifice n’aura été vain.

Je me souviens!

— Honoré Bergeron, 49 ans, Père de 6 enfants, touché au dos par une balle explosive!

— Alexandre Bussières, 25 ans, touché au poumon par une balle explosive!

— Édouard Tremblay, 23 ans, étudiant, mort au bout de son sang par manque de secours!

— Georges Demeule, 14 ans, atteint droit au cœur par une balle explosive!

À nos ancêtres morts sous les balles! PRÉSENT!

 

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