Séparation

Voilà les deux choix qui nous sont offerts comme peuple.

Soit, nous prenons notre destin de nation en main, pour assurer notre pérennité en Amérique. Soit, nous laissons la situation se dégrader jusqu’à l’extinction de notre peuple sur le sol qui l’a vu naître.

Le recul du français à Montréal, qui choque tant de gens, n’est qu’un des symptômes de cette extinction souhaitée par un État qui nous méprise. Les statistiques et les prévisions démographiques annoncent d’ailleurs notre mise en minorité́ au Québec dès l’an 2042.

Il n’y a plus aucune hypocrisie de la part des élites cosmopolites canadiennes, qui affichent dorénavant ouvertement leur volonté́ de nous voir enfin disparaître. Leur mépris et leur haine infusent constamment les représentants de leur rêve postnational. Que cela soit des professeurs d’université, comme l’irano-californien Attaran, des médias subventionnés ou même des ONGs comme « Amnesty International ». L’Annonciation de notre substitution démographique est louangée comme une intervention divine. Ils vont jusqu’à̀ nous menacer de représailles si le Québec n’adhère pas au dogme du racisme systémique.

Nous sommes ravis que dorénavant ce mépris ethnique envers les nôtres éclate au grand jour, contrairement aux tièdes qui préfèrent se victimiser. Enfin, ils dévoilent le dégout profond qui les ronge envers notre peuple. Cela ne fera que raviver la flamme nationale au cœur du foyer lumineux de l’Amérique française.

Nous sommes à la croisée des chemins…

Maintenant, c’est la séparation ou l’extinction !

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