action

Il n’est pas question d’être de dangereux complotistes pour s’inquiéter du climat totalitaire qui sévit présentement au Québec.Le simple fait que des ministres aient pu penser aux interventions policières sans mandats dans les domiciles privés dépasse la fiction. Ajoutons à cela les appels publics à la délation qui encouragent la surveillance et la méfiance entre tous, histoire de diviser encore plus la population. La surveillance, parlons-en justement; les autorités n’ont pas hésité à parler de géolocalisation des citoyens par le biais de nos télécrans portatifs.

Comme si cela n’était pas assez, nous avons eu droit à nos deux minutes de haine sur nos télécrans. En effet, un ministre a humilié publiquement une citoyenne dans la plus belle règle de l’art des commissaires soviétiques. Tout cela, sans aucune considération à l’exposition de cette citoyenne à la hargne populaire. Nos grands médias qui scandaient, « pas d’amalgame » pour les uns, ne se gênent plus de stigmatiser les autres. Tous les citoyens se posant des questions sont diabolisés sans exception par les propagandistes du système.Un gouvernement nationaliste n’aurait pas laissé aveuglément un bureaucrate, soumis à un organe mondialiste, gérer la situation.

Un gouvernement nationaliste aurait tout fait pour préserver sa souveraineté nationale et protéger les plus vulnérables sans abdiquer devant les intérêts étrangers.

Soyez dociles! Arruda vous regarde!

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