Encore une fois, on célèbre à Ottawa l’anniversaire de l’agglomérat fictif qu’est le Canada. Fiction, elle-même avouée par Trudeau junior et son État postnational. Rappelons que ce n’est pas d’une volonté populaire qu’est né cet État, mais de la volonté mercantile du régime britannique. Pour nous, il s’agit de plus de 150 ans de manigances pour nous minoriser et faire avorter nos lois. Plus de 150 ans de mépris et de haine contre notre langue et notre culture, contre notre peuple.
Pendant que ceux des nôtres qui devraient protéger notre avenir s’évertuent plutôt à collaborer à notre fin, une fiction quasi dystopique sera célébrée en grande pompe. Un état postnational qui s’affirme de plus en plus par son opposition virulente à notre Nation.
Prompt à reconnaitre un racisme systémique difficilement perceptible dans son histoire autrement que dirigé contre les Canadiens-français, l’hymne que l’on nous a volé, puis dénaturé sera chanté en cœur contre notre existence. Hier, leurs aïeux orangistes nous infériorisaient. Aujourd’hui, fanatiques du multiculturalisme, ils nous accablent presque de crime contre l’humanité au moindre éveil identitaire. Toujours, le même mépris du colonisateur anglo-saxon, perpétuelle incarnation d’une supposée perfection contre le francophone résilient.
S’il y a racisme systémique, il s’agit d’une tradition anglo-saxonne, de Durham à Trudeau!
153 ans de tentatives d’extermination et ça continue …