En ces temps incertains, plusieurs de nos compatriotes ont perdu leurs emplois. Beaucoup n’ont pas accès à l’assurance-chômage ou doivent vivre avec un salaire réduit. Les premières victimes de l’effondrement du marché global, ce sont d’abord les petits salariés.
Nous poursuivons notre engagement social envers notre communauté en apportant quelques vivres à des familles dans le besoin. Devant l’échec de la mondialisation, soi-disant heureuse, serrons-nous les coudes. Tournons-nous vers ce qui est immuable. Notre peuple et notre patrie.
Par amour de notre peuple!