Préférence nationale

Il ne peut y avoir de justice sociale sans préférence nationale. Il est question d’une grave injustice lorsque nos gouvernements utilisent l’impôt pour privilégier les clandestins. Leur laxisme démontre la gravité de cette situation catastrophique et leur complicité, une situation qui gonfle volontairement l’armée de réserve du capital. Celle-ci est justifiée par une panoplie d’absurdités comme la fameuse soi-disant pénurie de main-d’œuvre. Alors que la situation serait favorable pour les ouvriers québécois afin que la compétition entre patrons permette une augmentation de la qualité des conditions de travail pour s’attirer la main-d’œuvre, cette crise inventée sert plutôt à justifier l’importation illégale et subventionnée d’une force de travail bon marché et de remplacement.

Ainsi, nos élus ont choisi de se cacher derrière des lois mondialistes plutôt que de prendre des décisions courageuses. Pendant ce temps, nos aînés suffoquent dans leurs CHSLD, mal nourris et mal lavés. Nos compatriotes peinent à avoir accès aux soins de médecine familiale et aux services qu’ils paient. Il ne faut pas non plus oublier le phénomène d’itinérance, qui ne fait qu’augmenter. Il devient impératif d’appliquer la préférence nationale, sans quoi cette injustice sociale sans précédent continuera à toucher les nôtres et à s’accroître. Nous sonnons l’alarme et réclamons l’application immédiate de la préférence nationale seule vectrice d’une vraie justice sociale.

Exister c’est combattre ce qui me nie!

 

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